
Il sera assurément question de cet intelligent Zeitschrift dans les prochains posts, tant ces articles de qualités et ses "contributeurs" représentent une source inépuisable de sujets et de débats. Le dernier numéro voyait entre autres les participations de Schmidt, Fischer, Kundera, Walser, Eco, Garcia Marquez, Glucksmann, etc.
J´ai lu avec attention l'article rédigé par Friedrich Merz, ancienne étoile montante de la CDU, ancien chef du groupe conservateur au Bundestag, avant d'être foudroyé en pleine ascension par Angela la Terrible. Il faudra tout de même revenir sur son couplet relatif aux professionnels de la politique. Merz n'est pas forcément le mieux placé pour parler, mais il en parle.
L'édition du mois d'avril liegt auf meinem Schreibtisch et, O surprise, nous réserve une interview de... François Bayrou. En lisant l'entretien, on a l'impression d'entendre l'homme du Béarn en allemand. Je vous assure que ça fait quelque chose.
Pour respecter mon titre et mes lecteurs, je me dois dans les quelques lignes qui suivent aborder successivement la Mannschaft, Mariton et Anelka. J'ai été trop gourmand, sans doute.
Passons sur Mariton, qui est un con. Il est bon néanmoins de le rappeler. Et fréquemment si possible.
La Mannschaft, l'équipe de football allemande dirigée par Joachim Löw, s'est vue trop belle. Les journaux, notamment le Bild, titraient après la victoire sur la République Tchèque samedi soir, que leur équipe était la meilleure d'Europe. Bilan: défaite 1-0 à domicile contre les Danois. Que l'entraineur allemand ait aligné 6 nouveaux joueurs n'y change rien.
Reste Anelka, à nouveau brillantissime contre les Autrichiens et désormais indispensable à l'équipe de France. Quel beau retour !