"Malgré les grands progrés que je fais en allemand, il est clair que j'y suis venu trop tard, et que je ne parlerai jamais cette langue comme le français. Je ne le regrette pas trop". Michel Tournier, "Le Roi des Aulnes".

06 janvier 2007

C'était vraiment très intéressant

Et dire qu'il aurait pu être élu:


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Jeudi 18 Janvier 2007.
Faire trembler la Maison Blanche (1bis)

Nos terres occupées, nos ressources pillées, nos enfants assassinés… valent chers, très chers même.

L’histoire commence le lendemain d’une énième agression israélienne, en l’occurrence celle qui a touchée le Liban durant le mois de juillet passé. Face à l’empire américain qui sème le désordre dans la région, et dans le Monde, depuis plusieurs décennies, une élite algérienne a lancé une campagne de résistance visant à déplacer le conflit au sein même du camp ennemie. Cette élite porte le nom « les esprits libres ».
Cette campagne, qui a provoqué la perte du parti républicain aux élections sénatoriales du 07 novembre 2006, a commencée en Algérie prenant comme forme l’organisation d’un séminaire international sur la continuité des affaires, un sujet d’actualité principalement en Amérique du nord, à l’hôtel Al-Jazaïr (Alger) du 12 au 15 novembre 2006.
Durant les mois de août et septembre 2006, ce groupe d’ingénieurs, médecins, universitaires et chercheurs, résident pour la plupart en Algérie, a réussi à faire adhérer un nombre important d’intellectuels, journalistes, entrepreneurs et de politiciens à leur cause. La méthode était le e-mailing, une des méthodes les plus connues du marketing moderne, consistant à envoyer des courriers électroniques à des personnes (respectivement des organisations) qu’on veut démarcher où on fait l’éloge du produit qu’on commercialise. Une partie du produit se trouvant sur la brochure utilisée, l’autre sur le blog « intelligencia.dzblog.com ». Le message était de bâtir un front anti-impérialiste.
Après avoir consolidé leur base, les esprits libres ont lancé la deuxième étape à international. Après avoir tâter le terrain du 17 septembre au 04 octobre 2006, ayant des échos favorables, ils lancèrent l’opération le 05 octobre 2006 où ils ont pu faire adhéré l’opinion arabe et musulmane. À ce moment deux nouveaux acteurs font une apparition publique, en l’occurrence Israël et les USA. Le premier par le biais de ses services secrets qui accusent notre intelligentsia de vouloir vendre une technologie de pointe au terroristes (il s’agit du BCP : planification de la continuité des affaires) tout en nommant l’extrémiste Libermann au poste de Ministre des affaires stratégiques pour les contrecarrer, le second par le biais de son Président G.W. Bush qui prend la parole publiquement, sur un temps menacent, le 11 octobre 2006 en accusant cette élite de vouloir fondé une Khilafa. Du 11 au 17 octobre, en un temps record, la vague d’adhésion a touché le monde en voie de développement. Ce défi lancé par Bush a trouvé qui le relève brillamment. Le résultat est de la taille des grands, un échec historique aux deux chambres lors des élections sénatoriales du 07 novembre 2006. Mais l’histoire aussi belle qu’elle soit ne s’arrête pas là.
Durant les jours suivants, Ramsfeld, Ministre de la Défense des USA, se retrouve sur la touche, suivi par Bolton leurs représentant aux Nation Unis.